MICROBIOME SAIN, PEAU SAINE

QU’EST-CE QUE LE MICROBIOME CUTANÉ?

La peau est l’organe le plus grand du corps humain. Le microbiome cutané est un environnement diversifié à la surface de la peau, là où coexistent des milliards de micro-organismes bénéfiques et potentiellement nocifs. L’âge, le sexe, l’alimentation, l’hygiène, le climat et la pollution peuvent tous affecter le type et la quantité de ces micro-organismes1. Le microbiome de chaque personne est unique.

La recherche sur le microbiome cutané indique que ce dernier joue un rôle dans la santé de la peau. La peau saine se caractérise par une barrière cutanée intacte et un microbiome équilibré, ce qui signifie la présence d’une grande diversité microbienne. Les patients présentant certaines affections, comme la dermatite atopique et une peau sèche qui démange, ont la barrière cutanée fragilisée et altérée et une un microbiome déséquilibré. Le recours aux prébiotiques (présents dans les glucides et les fibres alimentaires) est une façon d’aider à rééquilibrer le microbiome cutané, en favorisant la prolifération des bonnes bactéries.

QUE SONT LES PRÉBIOTIQUES?

Les prébiotiques favorisent la croissance des micro-organismes. Sélectivement fermentés, ils favorisent certains changements dans la composition ou l’activité de la microflore, ce qui aide à la prolifération des micro-organismes et leur permet d’offrir des sous-produits bénéfiques. Employés dans les soins de la peau, les prébiotiques aident à assurer un milieu sain au microbiome cutané.

Chez AVEENO®, les scientifiques étudient l’avoine depuis plus de 60 ans et ont récemment découvert que l’avoine AVEENO® agit en tant que prébiotique et aide à équilibrer le microbiome de la peau.

QUEL EST LE MODE D’ACTION DE L’AVOINE PRÉBIOTIQUE AVEENO®?

Outre son effet hydratant et ses bienfaits pour la barrière cutanée, l’avoine AVEENO® est un prébiotique cutané qui favorise la prolifération des micro-organismes dans le microbiome de la peau2. Métabolisée par les bactéries commensales, elle favorise la croissance de la S. epidermidis - une bactérie importante faisant partie d’un microbiome sain, qui aide à réduire le pH de la peau et à augmenter la production d’acide lactique.

  • Un microbiome sain prospère dans un milieu relativement acide (pH ~5.0) qui inhibe la croissance des pathogènes. Un pH trop élevé peut contribuer à la détérioration de la barrière cutanée. Cela est souvent le cas en présence d’eczéma lorsqu’un pH élevé contribue à la détérioration de la barrière cutanée et à la création d’un milieu qui favorise la croissance des S. aureus et S. pyogenes, et entraîne par conséquent la dysbiose du microbiome cutané3. Une formule à l’avoine colloïdale normalise immédiatement le pH de la peau atopique.
  • L’acide lactique jour un rôle important dans la santé de la peau. C’est un facteur naturel d’hydratation (NMF) qui aide à lier l’eau de l’atmosphère à la peau pour la garder hydratée. Il a également été démontré que l’acide lactique aide à rééquilibrer le pH de la peau.

LE MICROBIOME DE LA PEAU ATOPIQUE

La recherche sur AVEENO® a démontré que la peau atopique à une diversité microbienne plus faible et une colonisation staph souvent plus grande, ou un microbiome déséquilibré et une barrière cutanée compromise. Tous ces facteurs engendrent une vulnérabilité aux agents irritants pouvant causer inflammation, poussées d’eczéma et démangeaisons. Une régénération de la barrière cutanée et une amélioration de la diversité bactérienne en présence de dermatite atopique peuvent contribuer à réduire les poussées d’eczéma.

microbiome_page_asset_1.jpg

Recherche d’AVEENO® sur le microbiome cutané

Lors d’une étude clinique multicentrique, avec répartition aléatoire, menée auprès d’hommes et de femmes souffrant d’eczéma léger ou modéré, les sujets qui ont utilisé la crème hydratante AVEENO® Soin de l’eczéma à base d’avoine prébiotique ont remarqué une atténuation significative de leurs symptômes d’eczéma et une amélioration du pH et de la fonction de barrière de la peau, ainsi qu’une augmentation marquée de l’hydratation de la peau, le tout accompagné d’une amélioration du microbiome cutané de la peau lésionnelle sur 24 heures4. Les améliorations des scores EASI et de la diversité microbienne ont été maintenues même après une semaine entière sans application de la crème.

microbiome_page_asset_6.jpg

AVEENO® Soin de l’eczéma améliore les scores EASI et ADSI

LE MICROBIOME DE LA PEAU SÈCHE QUI DÉMANGE

L’écosystème de la peau sèche qui démange est fragile. La barrière cutanée peut être compromise et le microbiome cutané est plus susceptible de perdre rapidement son équilibre.

Lors d’une étude clinique unicentrique, avec répartition aléatoire, et portant sur des femmes ayant la peau sèche qui démange, les participantes ayant utilisé la lotion hydratante apaisante AVEENO® à base d’avoine prébiotique ont atténuation significative de la démangeaison, une amélioration significative de la fonction de barrière de la peau et une augmentation marquée de l’hydratation de la peau, après 1 jour seulement, le tout accompagné d’une amélioration significative du microbiome cutané après deux semaines. L’atténuation de la démangeaison a été maintenue même après une semaine entière sans application de la lotion.

RÉFÉRENCES :

  1. Grice EA, Segre JA. The skin microbiome. Nature reviews Microbiology. 2011;9(4):244-253.
  2. Données in vitro
  3. Panther 2015 J Clin Med
  4. Effects of topical lotions on the atopic dermatitis skin microbiome and associations with itch and skin barrier function. Johnson & Johnson Consumer Inc. poster presentation at the 76th Annual Society for Investigative Dermatology (SID) Meeting: April 26-29, 2017; Portland, OR, USA.
  5. Grice EA, Kong HH, Conlan S, et al. Topographical and temporal diversity of the human skin microbiome. Science. 2009;324:1190-2.
  6. Gallo RL, Nakatsuji T, Microbial symbiosis with the innate immune defense system of the skin. J Invest Dermatol. 2011;131(10):1974-1980.
  7. Stamatas GN, Capone K. New findings and the impact of infant skin microbiota on product development. Cosmetics and Toiletries. 2014;129(2):54